LE COURRIER EGREGOR.fr

Irène Adler plope en 1891 et est immédiatement recrutée par l’Agence de Protection des Rêveurs et en grimpe rapidement les échelons. En 1962, elle empêche le déclenchement d’une guerre nucléaire entre États-Unis et URSS, et est élue directrice de l’APR quelques mois plus tard.

 

Sous sa direction, l’APR développe particulièrement sa branche de contrôle, dont le but premier est d’enquêter sur les disparitions suspectes de Rêveurs, en démantelant notamment plusieurs réseaux de trafic humain.

En allouant un budget conséquent au soutien des campagnes de santé publique sur la vaccination dans le monde, Adler contribue à l’éradication de nombreuses pathologies rêveuses, dont la variole et la diphtérie.

 

En parallèle de ses fonctions officielles, Adler s’investit également dans le programme de parrainage de la Fondation Désiré, en prenant notamment sous son aile Padmé Amidala, qui devient en quelques années après son plopage un élément essentiel de l’équipe diplomatique de l’APR.

 

En mars 2016, la Pythie de Delphes, secrétaire de direction de l’APR à vie, mentionne Adler dans une prophétie annonçant l’approche de « temps obscurs » et préconisant la recherche de « reliques ». En septembre de cette même année, Adler présente sa démission du poste de directrice de l’APR pour se consacrer à la réalisation de cette prophétie. C’est Morgane LeFay qui prendra la relève.